📘 قراءة كتاب Caract eacute ristiques de la science d rsquo Al Ghazali dans son livre laquo La sunna proph eacute tique raquo أونلاين
Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
Ô Allah je reconnais devant Toi qu’il n’y a de force et de puissance qu’en Toi seul,
louange à Allah à qui appartient le succès incessant, et la donation et la générosité
permanente, j’atteste qu’il est la Divinité de la vérité, il n’y a de divinité digne
d’adoration qu’Allah le Glorieux le Clément, et j’atteste que Mohammad est le dernier
des prophètes que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui, sa famille, ses
compagnons et les successeurs.
Ô toi mon frère, qui le suit dans sa méthode et ses actes, Assalamu ‘alayka wa
rahmatullah wa barakatuh.
Tu as demandé, et tu ne cesses d’être lié au succès d’Allah, que j’écrive quelques mots
pour avertir celui qui a une clairvoyance acérée sur ce crime contre la législation
d’Allah qu’est le livre « la Sunna prophétique entre les gens de la jurisprudence et
les gens du hadith ». Crime pour ce qu’il contient comme règles et fondements de
refus des pratiques prophétiques rapportées, et comme raillerie des gens de science. Il
a abordé des sujets qu’il ne maîtrise pas, dans le fiqh et le hadith, où il a cafouillé et dit
des choses surprenantes, et il a expliqué la législation d’Allah au gens selon sa raison.
Comme tu le sais, ô mon frère, l’écrivain est connu pour son éloquence et il se réclame
de la da’wa, et celui qui prêche ce qu’il maîtrise, on ne lui reproche pas d’avoir fait
une erreur dans un article ou d’avoir trébuché sur un point. Mais lorsque le lait caillé
se mélange avec le beurre, ce qui est entretenu avec ce qui est négligé, que le médecin
prétend qu’il a la connaissance de résoudre les désaccords (religieux), l’architecte qu’il
est doué dans la jurisprudence, le mathématicien qu’il peut corriger les contes
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littéraires, et le prédicateur qu’il est un juge entre les gens du fiqh et les gens du hadith,
alors c’est là le grand désastre et la source des débauches.
Et ce livre que tu m’as demandé de dévoiler, a été adopté pas les gens des tourmentes
(fitan) et les ennemis de la Sunna, parce qu’il est conforme aux désirs des gens des
passions. Et ce qui a allumé son feu c’est le journal Le moyen orient et qui te dira ce
qu’est le journal Le moyen orient et sa calamité ! [Le journal] a publié des articles bien
précis, ces articles sont entrés dans des maisons qui ne connaissaient ni le livre ni son
auteur, pour un objectif connu qui est de propager la divergence et de diviser les
savants. Ce feu a été allumé, mais le feu des stylos peut être éteint par l’écoulement de
l’encre des gens de la vérité.
Ô mon frère, l’écrivain a commis un crime contre lui-même et contre sa communauté,
et il a rugit d’un rugissement de lion galeux qui a tyrannisé les jeunes de la da’wa et
les savants, et il a insulté, envoyé des flèches, rudoyé, il n’a pas respecté nos savants et
il s’est moqué de leurs paroles avec vanité et orgueil, déchaînant sa langue et se
montrant transgresseur.
Tu n’a pas vu, ô toi le vertueux l’aimable, combien l’écrivain a honoré les rafida –
secte chiite– et les laïques lorsqu’il a osé parler de ‘Umar Ibnul Khattab –qu’Allah soit
satisfait de lui– en rendant faux ce qu’il a rapporté car cela était en contradiction avec
son avis et ses passions, il dit (p.17) : « il est établi que la faute n’est pas exclue d’un
narrateur, même s’il est de la grandeur de ‘Umar ». Et n’as-tu pas vu comment il a
attaqué Khabbab Ibnul Athari, le sixième converti à l’islam des six premiers
compagnons convertis, son âme est éternellement au paradis treize siècles avant
l’arrivé d’Al-Ghazali, il a dénigré sa science lorsqu’il a parlé de ce qu’a rapporté Al
Bukhari et Muslim
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d’après Khabbab –qu’Allah soit satisfait de lui– « Le musulman
est récompensé pour tout ce qu’il dépense sauf pour une chose le conduit vers cette
terre (la tombe) » et Al-Ghazali dit avec audace (p.87) « dans la parole de Khabbab, il
y a une couche de pessimisme qui s’est emparé sur lui a cause de sa maladie de
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Il a attribué le hadith à Muslim alors qu’il n’est rapporté que dans le recueil d’Al-Bukhari
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laquelle il a beaucoup souffert ». N’as-tu pas vu, ô mon frère, sa parole à propos de
Salman Al Farissi –qu’Allah soit satisfait de lui– (p.116) à propos d’un hadith qu’il a
rapporté : « Le hadith de Salman n’est qu’une réflexion d’un état psychique
particulier ».
Alors dis-moi, ô toi qui es digne de succès, est-il correct de la part d’une personne de
passion de refuser les arguments et les preuves comme a fait Al-Ghazali ? ‘Umar se
trompe sur ce qu’il a rapporté du prophète – que la paix et la bénédiction d’Allah
soient sur lui–, Khabbab est pessimiste et Salman est dans un état psychique spécial.
Ces paroles sont-elles celles d’un homme qui s’est attaché à la science pour une raison
approuvable ? Ou sont-elles des paroles d’un homme des passions - et la passion est un
bateau qu’admire l’ignorant qui se noie - ou sont-elles les paroles d’un arrogant ? Tu
peux dire cela ou ce que tu veux, on te reprochera rien. A certes dit vrai celui qui a
dit : « quand les situations changent on sait ce que cachent les gens » et les situations
ont changé, et le dissimulé s’est dévoilé pour moi et pour toi, et ce que cachaient les
cerveaux a été présenté sur des plats, et j’ai vu et tu as vu, et tous les jours nous
voyons des choses surprenantes et étranges. Et arrête toi, ô toi l’aimable, sur sa parole
(p.128) : « ceux qui ont dit de couper la prière et qui sont les trois personnes citées
dans le hadith d’Abi Dhar et d’autres, sont les pauvres des gens du hadith » sais-tu
qui sont les trois personnes citées et qui ont dit de couper la prière ? Ce sont des gens
de bien : Anas, Abu Dhar et Abu Hurayra –qu’Allah soit satisfait d’eux– et Ibnu Al
‘Abbas dans une narration, et Hassan Al Bassri et Abul Ahwas et Ahmad dans une
autre narration et d’autres. Interroge les enfants des musulmans au sujet des grands
imams que je t’ai cités, sont-ils des pauvres en science ? S’ils te répondent qu’ils sont
des grands savants, tu partageras mon avis que l’envie d’Al-Ghazali est immense de
rabaisser celui qui le contredit, par de mauvaises paroles et d’épouvantables écrits,
comme les gens des passions, et celui qui dit ce qu’il veut aura ce qu’il ne voudra pas.
Ô mon compagnon, j’ai lu et tu as lu le livre, et je l’ai trouvé riche et pauvre, riche en
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et dérisions, et pauvre en bonnes paroles et choix (juridiques), l’écrivain
s’est considéré lui-même juge et arbitre, entre qui ? Entre les gens du fiqh et les gens
du hadith dans leur compréhension de la Sunna. Cela montre l'étroitesse et la
médiocrité de sa compréhension du fiqh, car la plupart des gens du fiqh contemporains
sont des savants du hadith, et la plupart des gens du hadith passés sont des savants du
fiqh. Regarde Malik, Achafi-‘i, Ahmad, Al-Awza-‘i, Al-Layth et Athawri et
d’autres...ne sont-ils pas les émirs des croyants dans le hadith ? Ne sont-ils pas les
grands savants du fiqh de la communauté ?
Celui qui est clairvoyant et minutieux s’apercevra que l’écrivain désignait par les gens
du fiqh sa propre personne et ceux qui sont en accord avec lui ; et par les gens du
hadith, ceux qui le contredisent. N’as-tu pas vu la preuve de cela lorsqu’il dit
(p.19) : « les gens du hadith ont rendu le prix du sang de la femme équivalent à la
moitié du prix du sang de l’homme, et cela est une absurdité intellectuelle et morale
réfutée par les savants du fiqh vérificateurs » et tu sais –et j‘expliquerai en détail plus
tard– que les savants sont unanimes que (...) aux gens du hadith, et donc les savants
vérificateurs sont Al-Ghazali et ceux qui sont d’accord avec lui !
j’écris quelques mots pour avertir celui qui a une clairvoyance acérée sur ce crime contre la législation d’Allah qu’est le livre « la Sunna prophétique entre les gens de la jurisprudence et les gens du hadith ». Crime pour ce qu’il contient comme règles et fondements de refus des pratiques prophétiques rapportées, et comme raillerie des gens de science. Il a abordé des sujets qu’il ne maîtrise pas, dans le fiqh et le hadith, où il a cafouillé et dit des choses surprenantes, et il a expliqué la législation d’Allah au gens selon sa raison. Comme tu le sais, ô mon frère, l’écrivain est connu pour son éloquence et il se réclame de la da’wa, et celui qui prêche ce qu’il maîtrise, on ne lui reproche pas d’avoir fait une erreur dans un article ou d’avoir trébuché sur un point. Mais lorsque le lait caillé se mélange avec le beurre, ce qui est entretenu avec ce qui est négligé, que le médecin prétend qu’il a la connaissance de résoudre les désaccords religieux , l’architecte qu’il est doué dans la jurisprudence, le mathématicien qu’il peut corriger les contes littéraires, et le prédicateur qu’il est un juge entre les gens du fiqh et les gens du hadith, alors c’est là le grand désastre et la source des débauches.
Ce livre fut grandement apprécié par le grand savant Mouhammed Nasserouddine AlAlbany, qu’Allah lui fasse miséricorde.
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